La fic D'Alice Bloody Girl

Je tiens à avant tout à dire que cette fic à été écrite par JepossedeTout, je ne fais que la cc sur mon site en intégralité

La fic d'Alice

=Chapitre Premier : une youtubeuse bien fournie=

-... et je vous retrouve la prochaine fois pour d'autres vidéos !
Après avoir éteint sa caméra, Alice, une brunette à l'imposante poitrine, soupira. Elle venait de finir sa vidéo sur "Pourquoi les jeux vidéo c'est trop swag", après tant d'efforts. Se disant qu'elle allait faire le montage plus tard, elle se dirigea vers sa chambre, son frère étant parti faire les courses (du moins c'est ce qu'il avait dit ...). Elle enleva son T-shirt non sans mal, puis son petit short en jean qui moulait ses fesses rebondies et ses jolies cuisses. Elle passa les mains dans son dos et dégrafa son soutien-gorge, laissant s'échapper son opulente poitrine avec un petit ballottement. Puis elle laissa son string descendre le long de ses jambes, avant de l'envoyer au loin d'un mouvement du pied.
Alice se dirigea vers la salle de bain, et entra dans la cabine de douche. Laissant l'eau couler sur tout son corps, elle entreprit ensuite de se savonner le corps. Elle massa délicatement ses seins pour que la mousse les recouvre. Puis elle descendit plus bas et frôla son bas-ventre. Elle ressentit un petit frisson, se disant qu'elle avait grand besoin de se faire plaisir. La jeune fille s'assit dans un coin de la bouche et écarta les jambes. Encouragée par la mousse, elle commença à caresser son entrée délicatement. De l'autre main, elle commença à pétrir l'un de ses seins. Les premiers gémissements commencèrent à retentir dans la salle. Elle décida d'introduire un de ses doigts dans sa fente, stimulant ainsi son intérieur avec ardeur. Mais ce n'était pas assez pour elle. Elle en voulait plus. Elle ajouta deux doigts supplémentaires, et commença à se pincer le téton. Les gémissements se faisaient plus forts et plus réguliers, mais le bruit de l'eau sortant en trombe empêchait les voisins d'apprécier ce spectacle sonore. Les gémissements de la jeune vidéaste se transformèrent en cris de plaisir. Alors que la belle était au bord de la jouissance, elle entendit la porte de l'appartement s'ouvrir ...

=Chapitre Second : un frère un peu trop affectif=

Le cri de jouissance d'Alice mourut dans sa gorge au moment où elle entendit la porte de l'appartement s'ouvrir. Quelqu'un était entré, et seul son frère avait la clé.
-Alice ?
La jeune fille fut quelque peu soulagée que ce soit effectivement la voix de son fraternel. Elle espérait juste qu'il ne l'avait pas entendue se livrer à son plaisir solitaire.
-Je suis sous la douche !
Alice sortit de la cabine, un peu frustrée de ne pas avoir pu terminer son affaire, et enroula une serviette autour de son corps. Elle ouvrit la porte de la salle de bain, fit quelques pas ... et se fit agripper par une puissante main qui la plaqua contre le lit.
-Mais enfin, qu'est ce que tu fais ! paniqua t-elle.
Son frère répliqua :
-Tu crois que je t'ai pas entendue en train de te doigter sous la douche ? En plus tu sors avec juste ta petite serviette. T'es vraiment une allumeuse.
La jeune fille le supplia de la relâcher, mais il ne semblait pas décidé à lâcher prise. Il lui arracha sa serviette, et la dévora des yeux.
-Tu sais depuis quand j'ai envie de profiter de ton corps d'actrice porno ? J'ai la trique à chaque fois que je te vois. Et te regarder faire l'allumeuse sur YouTube m'excite encore plus.
-Non, s'il te plait, pleura t-elle, t'es mon frère ...
Il la mit à genoux et lui administra une claque.
-Ferme ta gueule. Tu vas être une gentille petite soumise.
Sur ce, il se déshabilla, et mis son visage devant son mandrin tout dressé.
-Tu vois comme j'ai envie de toi. Tu vois comment je suis quand je regarde ton décolleté de fou. Maintenant sois gentille, et avale gentiment.
Alice fit non de la tête et tenta de repousser son frère. Il grogna et enfonça de force sa queue au fond de la bouche de sa soeur...

=Chapitre Troisième : Soumission fraternelle=

Son frère ancré au fond de sa gorge, Alice n'arrivait plus à respirer. Elle suffoquait à cause de cet engin qui remplissait sa petit bouche.
-Alors, tu la fermes ta gueule maintenant, hein ?
Quand enfin il sortir, la jeune fille avala avidement l'air. Le jeune homme redressa le visage de sa soeur et lui administra une bifle retentissante. La jeune fille poussa un cri de surprise, ce qui encouragea son frère à lui redonner quelques tapes avec son engin.
Il prit le visage éploré de la belle entre ses mains, et réintroduisit son piston dans son orifice buccal. Il fit des vas et viens, se servant de la bouche de suceuse de sa frangine comme d'un trou à ramoner. La jeune fille n'avait d'autres choix que de se laisser faire. Au fond d'elle, elle avait honte, honte de son frère. Mais lui ne voyait en elle qu'un vide couilles aux formes délicieuses.
Cette gorge profonde la faisait beaucoup souffrir, et elle ne put contenir ses larmes. Heureux de la voir ainsi soumise, il décida d'aller plus loin.
Il la souleva et la jeta sur le lit, avant de lui sauter dessus. Là, il ne se fit pas prier et rentra bien vite sa queue dans la chatte serrée de sa soeur. Il fut surpris de constater qu'elle était assez humide.

=Chapitre Quatrième : Le derrière des choses=

Fortement assaillie par son frère, Alice était contrainte de se laisser faire, elle était soumise aux coups de boutoirs du jeune homme. Ecrasée sous son poids, elle avait mal, aux seins, broyés par les mains du dominateur, et à la chatte, ramonée de fond en comble, à la bouche aussi, après la gorge profonde imposée.
-Maintenant, on va passer au choses sérieuses.
Il sortit de la vulve de sa partenaire, et la retourna sur le ventre. Il lui mit une claque sur les fesses avant de lui ordonner :
-Mets toi à quatre pattes, comme la chienne que tu es.
Sachant qu'elle n'avait pas le choix, elle obtempéra. Elle se cambra et lui tendit son joli cul rebondi.
-Bien, t'es une gentille petite chienne.
Il la prit par les hanches, et s'ancra à nouveau dans son intimité. Il la besogna sans ménagement, il n'avait qu'une envie, éclater chaque centimètre carré de ses parois. Alice ne pouvait toujours pas hurler, mais elle avait encore plus mal qu'avant. Cependant, aux bouts de quelques instants, elle commença à éprouver un certain plaisir, et se laissa aller au rythme de son frère. Celui remarqua qu'elle bougeait les hanches en même temps pour approfondir la pénétration.
-Alors, sale truie, tu peux pas résister, hein. Tu kiffes ça d'être prise comme une chienne.
Alice se mit à penser que oui, elle aimait ça, mais dans son esprit, elle refusait toujours que son frère la prenne comme la dernière des putes. Ce dernier ralentit la cadence avant de se retirer. Elle fut surprise de son endurance. Alors il se mit à caresser son petit trou, et elle comprit immédiatement ses intentions, et se mit à se débattre.
-Alors, tu prends quand même ton pied, petite cochonne.
Il commença à la besogner sans vergogne, allant tout au fond de son intimité. La jeune fille couinait comme une truie à chaque coup de rein. Pour éviter que les voisins ne les entendent, il attrapa le string de sa soeur et lui fourra dans la bouche. Ainsi, il pouvait profiter de ses cris assourdis sans ameuter le voisinage.
Le salaud avait une vue imprenable sur les nichons de sa frangine, qui ballotaient à chaque coup de boutoir. Il en attrapa un et le malaxa violemment. Alice voulait hurler, mais son bâillon lui interdisait.
-T'as vraiment un corps de rêve, t'es une vraie bombasse. Tu sais le nombre de mecs qui voudraient être à ma place en ce moment ? Tout Internet veut te baiser, sale chienne.
Il accéléra le mouvement, le lit butait contre le mur, et les seins de la belle s'agitaient violemment.
-Je vais faire de toi ma petite pute ...

=Chapitre Cinquième : Par le fond=

-Alors ma jolie, prête à te faire prendre pour la première fois par là ?
Alice se débattait tant qu'elle pouvait, mais son frère la tenait bien, et semblait décidé à profiter d'elle encore un moment. Il se délectait de la voir remuer comme pour lui échapper, il avait l'impression d'être un prédateur tout-puissant.
Il n'attendit pas plus longtemps et posa son gland contre le petit trou de sa frangine. Il l'entendait sangloter, mais ça ne faisait que le pousser davantage à la traiter comme une chienne. Il voulait lui faire mal, alors au lieu de faire ça dans la procédure, il poussa et se retrouva d'un seul coup en elle. La jeune fille hurla de douleur, même le bâillon ne put contenir la puissance de ce cri. La queue s'était ancrée tout au fond d'elle, sans lubrifiant, sans précaution. Elle venait de perdre sa virginité anale en une seconde. Et c'était extrêmement douloureux.
Son frère commença à lui ramoner le cul sans ménagement, chaque coup de rein était une torture pour la pauvre fille.
-Ton cul est encore plus serré que ta chatte, c'est génial. Je vais te prendre tous les jours par là.
Ainsi, c'était cela. Son frère profiterait d'elle chaque jour, que ça lui plaise ou non. Pourtant, elle ne pouvait se résoudre à le dénoncer, elle l'aimait quand même.
-C'est trop serré, je vais déverser mon foutre sur toi.
Il sortit de son petit trou avec un chuintement, la retourna à genoux et lui éjacula sur le visage. La jeune fille reçut des flots de semence sur la face, elle se sentait humiliée et détruite. Il termina par quelques quelques bifles pour se vider entièrement, puis il lui retira son bâillon. La jeune fille haleta et toussa, avalant de grandes goulées d'air.
-Estime-toi heureuse, la prochaine fois, tu l'auras au fond de la gorge. Allez, tu peux aller reprendre une douche, sale truie.

=Chapitre Sixième : Invités surprise=

Cette seconde douche avait quelque chose de mystique. Alice se lavait à la fois du foutre collé sur son visage, mais aussi de la honte qui l'habitait après ce que son frère lui a fait subir. Elle ressortit de la salle de bain, en ayant pris soin de se rhabiller, histoire de ne pas redonner des idées au jeune homme. Heureusement, celui-ci était reparti, elle allait pouvoir savourer son répit.
Il était 19h45, elle alla donc se préparer un plat surgelé en fredonnant. Confortablement installé dans le canapé, elle regardait la télé distraitement en avalant sou repas. En plein mois d'août, il faisait une chaleur infernale, c'est donc sans regret qu'elle se débarrassa de ses vêtements pour ne garder que son string et son soutien-gorge. Alors qu'elle commençait à somnoler, la porte s'ouvrit violemment pour la deuxième fois de la journée. Elle reconnut son frère ... mais il n'était pas seul. Deux garçons plutôt musclés se trouvaient derrière lui et jetaient des coups d'oeil furtifs à l'intérieur de l'appartement.
-Regardez, les gars, je vous avais bien dit que c'était une bombasse, matez-moi ça, en plus on dirait qu'elle nous attendait, elle est déjà presque à poil !
Ses deux comparses eurent un sourire carnassier.
-Je te présente Alexandre et Clément, deux excellents potes à qui je ne peux rien refuser.
Il ajouta en arborant le même sourire de prédateur :
-J'espère que tu vois où je veux en venir ...
Les dénommés Alexandre et Clément s'avancèrent vers elle et la regardèrent de haut en bas.
-Merde ... mais ils sont vraiment énormes, dit Alexandre, un grand brun.
-On va se faire plaisir, renchérit Clément, plus petit, avec des cheveux châtain clair.
Alice sut alors que la soirée allait être infernale.

=Chapitre Septième : Insertion en dualité=

Tout alla très vite, quatre mains puissantes attrapèrent Alice, qui remuait furieusement. Elle essaya de les mordre, mais très vite elle reçut une grande claque qui la sonna.
-Elle mord, cette pute !
-T'inquiète, on va lui donner à bouffer.
Ils l'entraînèrent dans la chambre pendant que le frère sortir prit la caméra qu'ils utilisaient pour les vidéos, avant de suivre ses deux compatriotes.
Alexandre et Clément se déshabillèrent et arrachèrent violemment les sous-vêtements de leur proie. Leurs mains passèrent sur les seins nus d'Alice, qui était encore à moitié étourdie par la claque de tout à l'heure.
-Putain, ils sont ronds et fermes, j'en ai jamais vus des comme ça, s'extasia Clément.
-Vas-y, on commence.
Alexandre prit le visage d'Alice entre ses mains.
-Tu sais ce qu'il te reste à faire.
Comme elle refusait d'ouvrir la bouche, il lui mit une nouvelle claque sèche qui surprit la jeune fille. Celle-ci poussa un petit cri, et il en profita pour insérer sa queue bandée. Il pénétra violemment sa bouche jusqu'à lui faire mal à la mâchoire.
-Oh putain, c'est trop bon, elle a une bouche de suceuse.
-Ouais, par contre tu m'en laisses, connard ?
Alexandre fit un doigt un Clément en lui faisait clairement comprendre qu'il devait attendre son tour. Mais le jeune homme était trop impatient, aussi prit-il la main de sa victime pour la poser sur son sexe.
-Branle-moi, salope.
Comme la jeune fille refusait d'obtempérer, son frère s'éclaircit la gorge comme pour lui rappeler qu'il était là également, et lui désigna la caméra.
-Si tu veux pas finir sur un site porno, t'as intérêt à faire ce qu'ils te disent.
A contrecoeur, elle commença doucement à masturber Clément qui commença à murmurer de plaisir.
-Mets-la dans ta bouche, sale chienne.
Elle retira son orifice buccal de la bite d'Alexandre pour avaler celle de Clément. Cette fois ils n'eurent pas besoin de la forcer, elle allait et venait comme une grande, passant sa langue sur le sexe bandé qui occupait sa gorge. Mais le premier tira sur ses cheveux pour lui faire comprendre qu'elle ne devait pas le délaisser. Elle passa ainsi d'une bite à l'autre jusqu'à ce que Clément relève les fesses de la soumise.
Elle se retrouva à quatre pattes, la queue d'Alexandre dans la bouche, quand Clément mit son engin à l'entrée de son vagin. Il commença à la culbuter alors qu'elle était en pleine fellation. C'est la première fois qu'Alice se retrouvait avec deux orifices remplis en même temps, mais elle se rendit compte que ce n'était pas désagréable. Du moins dans ces deux orifices là ...

=Chapitre Huitième : Une nuit en enfer=

Coincée entre ses deux agresseurs, Alice se sentait plus humiliée que jamais. Mais une petite part de plaisir naissait en elle. Pendant qu'elle se faisait culbuter en levrette et qu'elle gobait une bite jusqu'au fin fond de la gorge, elle avait du mal à penser. Elle songeait à son frère qui était en train de la filmer alors qu'elle était la proie de deux prédateurs sexuels en rut. Elle devait avoir l'air d'une vraie chienne, et sur la vidéo, il serait difficile de croire qu'elle n'aimait pas ça.
Clément continuait de la besogner tout en lui claquant allègrement les fesses. Alexandre allait à chaque coup tout au fond de sa trachée, elle avait mal à la mâchoire à force de laisser passer cet engin de guerre entre sa langue et son palet. Chacun des d'eux l'insultaient copieusement de tous les noms :
-Sale chienne, tu kiffes ça, pas vrai ?
-Elle est toute mouillée ici, bien sûr qu'elle aime ça, la salope.
-T'es un gentil petit vide-couilles.
Alexandre sortit de la bouche d'Alice, la queue pleine de salive. Il attrapa la jeune fille par les cheveux et essuya son mandrin contre son visage. Il passa derrière elle et parla à Clément.
-Tu peux garder ce trou, moi je vais prendre l'autre.
Alice fut prise de panique :
-Non ! Pas vous deux en même temps !
Elle se prit une claque et une fessée en même temps, ce qui la fit couiner de douleur. Elle regarda la caméra et se souvint qu'elle n'avait pas le choix.
Clément passa sous elle, et commença à lui malaxer les seins tout en continuant à la tringler. Alexandre n'y alla pas par quatre chemins, et s'enfonça sans délicatesse dans l'anus dilaté d'Alice. Elle cria et commença à pleurer. Comme il était tard, Clément lâcha un de ses seins pour coller sa main sur sa bouche. On entendait plus que les claquements des couilles contre les cuisses rebondies de la jeune vidéaste, ainsi que ses gémissements assourdis. Elle se faisait prendre la chatte et le cul en même temps, et jamais elle n'avait eu aussi mal, même après la sodomie que lui avait inculquée son frère quelques heures avant.
Les deux barres de fer coulissaient facilement l'une après l'autre dans les deux trous.
Le frère, qui en avait marre de ne pas profiter de sa jolie frangine, sortit également sa queue, se plaça devant la face de cette dernière et força le passage entre ses lèvres tout en continuant de filmer le visage de sa soeur. Elle avait l'air salope jusqu'au bout, le regard absent, ses trois orifices complètement remplis.
Alexandre et Clément cessèrent de la labourer, et sortirent de ses trous avec un bruit humide. Son frère la fit mettre un genoux, et lui tira les cheveux pendant qu'elle continuait sa fellation.
Les deux comparses se masturbèrent un peu, et le frère se retira à son tour de l'orifice buccal pour se joindre à eux.
-Ouvre la bouche.
Après une seconde d'hésitation, elle obtempéra.
Pratiquement au même moment, les trois hommes déversèrent leur semence partout sur son corps, son visage, sa poitrine, ses cheveux furent recouverts.
-Avale tout, maintenant.
Elle racla la semence sur son visage avec ses doigts et l'amena dans sa bouche. C'était la première fois qu'elle goûtait du sperme, et elle trouva le goût assez désagréable. Pendant qu'elle finissait de déglutir, les trois amis ricanaient en l'insultant. Néanmoins, elle était heureuse que ce soit fini ...
-Bon, les gars, reposez-vous un peu, et on continue le marathon.
Alice n'en cru pas ses oreilles.
-Quoi ?!
Son frère sourit.
-Tu crois qu'on en a eu assez ? On va te baiser toute la nuit, ma belle, que tu le veuilles ou non.
Et malheureusement, c'est ce qui arriva. Pendant toute la nuit, elle fut leur jouet, leur vide-couilles, leur sac à foutre. Elle fut contrainte d'avaler des litres de foutre, ils se vidèrent dans sa bouche, sur son corps, dans son anus. Ils laissèrent juste sa petite vulve, histoire de ne pas avoir de problème d'engrossage.
Quand l'aube pointa le bout de son nez, elle n'était plus qu'une loque recouverte de fluide blanchâtre, qui ne pouvait plus réfléchir, elle était fracassée jusque dans son âme.

=Chapitre Neuvième : La brune et la blonde=

Après cette nuit infernale, Alice eut du mal à marcher pendant la journée. Elle passa son temps allongée sur le canapé du salon. Elle ne voulait pas s'installer dans le lit où elle avait passé des moments horribles, considérée comme un exutoire sexuel. Sa mâchoire lui faisait aussi terriblement mal, pratiquement décrochée par les assauts incessants des trois brutes dans sa bouche.
Elle devait finir le montage de sa vidéo tournée la veille, mais elle ne pouvait pas s'asseoir, alors elle allait regarder des séries et se reposer aujourd'hui. Cela lui allait parfaitement étant donné qu'elle était seule.
Alexandre et Clément étaient partis vers 9h, non sans lui donner une fessée d'au revoir. Son frère avait profité d'une dernière branlette entre ses seins massifs, puis était sorti, la laissant couverte de sperme.
C'était sa 3e douche en 12h, et elle sentait encore l'odeur du foutre sec sur sa peau, ce qui la rebutait.
Une heure plus tard, la porte s'ouvrit, laissant apparaître son frère, mais celui-ci n'était pas seul. Alice eut peur qu'il ait encore ramené un homme assoiffé de sexe, mais fut soulagée de voir une jeune fille à ses côtés.
-Frangine, je te présente Julie.
Sur ce, il claqua les fesses de la jeune invitée, qui fit un bond en avant dans l'appartement. La dénommée Julie était une jolie blonde aux yeux bleu glacier. Elle était habillée d'un T-shirt moulant laissant apparaître une paire de seins ahurissants. Ils n'étaient pas aussi gros que ceux d'Alice, mais ils avaient l'air bien ronds et fermes. Le bas du corps était tout aussi remarquable, de longues jambes blanches, et une mini-jupe qui cachait ingénument ses cuisses.
-Euh ... Bonjour, Julie.
-Pas besoin de formalités, vous allez toutes les deux vous déshabiller.
-Pardon ?!
Alice regarda la blondinette, qui baissa les yeux en signes de soumission, et commença à enlever son haut.
-Qu'est-ce que t'as fait à cette fille ?
-Je l'ai rencontrée en boîte, on dirait pas comme ça, mais c'est une cochonne comme on en fait plus, et ... (il eut un sourire malicieux) ... elle est bisexuelle.
Alice commença à comprendre. Elle regarda son frère s'emparer encore une fois de la caméra. Celui-ci demanda à Julie :
-Elle est à ton goût ?
Sans mot dire, elle hocha la tête en s'attardant sur la poitrine de la youtubeuse. Elle marcha vers elle et passa la main sous son T-shirt pour malaxer un de ses seins. Alice, comme hypnotisée, n'osa pas la repousser. La blonde broya alors la poitrine de la brune violemment, ce qui arracha un cri à cette dernière.
Julie avait changé de visage, elle venait de passer la langue sur ses lèvres, et avait un regard féroce.
-Je vais bien m'occuper de toi ma belle.

=Chapitre Dixième : Plaisir nymphique=

Alice fut entraînée de force dans la chambre par son frère et Julie, qui la jetèrent sur le lit encore témoin des événements d'hier soir. Là, ils la déshabillèrent en vitesse, impatients de profiter de son corps. Le jeune homme s'adressa à l'invitée :
-Je te laisse le soin de commencer, je vais immortaliser ce moment.
La blonde hocha la tête en signe de connivence, et, entièrement nue, s'approcha de la brune, impressionnée par la taille de son bonnet. Elle grimpa sur sa victime, et s'allongea sur elle. Leurs paires de seins étaient écrasées l'une contre l'autre, et l'oeil de la caméra ne loupait rien de ce magnifique spectacle.
Julie embrassa goulûment Alice, mélangeant sa langue à la sienne. Elle descendit une main vers l'entrée de la brune pour lui enfonça deux doigts sans ménagement.
La youtubeuse gémit, mais sa langue était prise, et aucun son ne sortit. Les doigts de la blonde s'activaient ardemment dans la vulve d'Alice. Mais trois doigts, ce n'était rien. Julie força le passage et entra son poing entier. C'était douloureux pour la vidéaste. Un poing, c'était plus gros qu'une queue, même si celles d'hier soir étaient d'une taille impressionnante. Julie cessa de l'embrasser.
-Je suis une pro du fist, j'espère que tu apprécies.
La blondinette était visiblement une sadique. Elle montra ses dents et commença à mordiller les tétons de sa partenaire. Encore une fois, la douleur était présente pour Alice. Un poing entier remplissait sa chatte, et ses tétons étaient malmenés par les dents d'une féroce louve.
Pendant ce temps, le frère, qui enregistrait la scène, se débarrassa de ses habits et s'approcha, le sexe bandé, des deux filles. Il fit son choix, voyant le petit cul de Julie remuer, parfaitement placée pour une levrette.
Il l'enfila d'un coup, la tenant d'une main par les hanches. La blondinette cessa de malmener la brune, et profita de cette queue qu'elle avait eu l'occasion d'essayer plusieurs fois déjà. Elle posa ses mains sur la poitrine d'Alice pour les masser délicatement.
Le spectacle était au rendez-vous. En dessous, la brune qui se faisait masser les seins par la blonde au milieu, qui se faisait prendre par l'homme au dessus. Cependant, ce dernier ne voulait pas délaisser sa soeur, et sortir de la chatte de Julie pour aller chercher un petit cadeau. Il revint avec un énorme gode de 35cm de long et 5cm de large, et le donna à la blonde. Celle-ci retourna sa partenaire sur le ventre, et caressa son petit trou. Alice paniqua :
-Tu vas pas me mettre ça là ?!
-Oh que si.
D'un coup sec, elle enfonça le gode dans le cul de la jeune fille, qui eut tellement mal qu'elle fut paralysée de douleur. Elle ne put même émettre un son.

=Chapitre Onzième : Folie du plaisir=

Julie commença à limer sauvagement le cul d'Alice avec le gode. La pauvre sodomisée trouva enfin la force de crier, mais bien vite, son frère lui plaqua la tête dans les oreillers pour contenir les hurlements. Elle souffrait atrocement. Jamais elle n'avait reçu un engin d'une telle taille par derrière.
La dominatrice appréciait de voir sa victime souffrir. Elle allait tout au fond de son trou, elle voulait détruire l'anus de la brunette, lui ramoner l'arrière de fond en comble. Elle voulait la voir se débattre comme une chienne.
Le frère passa en dessous de sa soeurette, et l'empala sur sa queue. Elle se retrouva ainsi fourrée encore une fois par les deux trous en même temps, l'un par un gode, l'autre par le mandrin de son fraternel. Elle sentit les deux barres s'activer en elle comme des pistons.
-Alors, soeurette, tu aimes te faire prendre en double ? J'ai bien vu hier soir que tu commençais à y prendre goût.
Alice ne voulait pas répondre, et pourtant, son frère avait raison, une petite parcelle de plaisir naissait en elle. Sentir ses orifices remplis n'était pas désagréable.
Son frère léchait ses seins qui balotaient follement à chaque enfilade. Chaque coup de langue procurait un choc électrique à la brunette, qui commençait à devenir folle.
-Ca y'est, elle est en train de se laisser faire.
Elle poussait à présent des petits gémissements de plaisir, elle en voulait encore.
-Frangin, démonte-moi, vas-y !
Il ne se fit pas prier et redoubla d'ardeur, allant au plus profond de sa soeur. Il avait enfin réussi à la rendre totalement soumise.
-Julie, retire le gode, je vais la finir.
La blondinette obéit, et libéra Alice de son fardeau anal. Son cul était complètement dilaté, on aurait presque pu y insérer le poing. Julie fut d'ailleurs tenté, mais elle devait obéir au frère de la brunette.
Ce dernier se positionna derrière sa soeur, et l'enfila par derrière d'un coup. Cette fois, elle eut à peine mal, le plaisir occupait tout son esprit. Le jeune homme prit sa soeur par les cheveux et lui tira en arrière. Il pouvait ainsi mieux voir la paire surdimensionnée de sa frangine balancer au gré des coups de reins.
Julie avait repris la caméra et ne loupait pas une miette du spectacle. Quand le jeune homme ne put plus tenir, il se vida au fond d'elle, ce qui la fit jouir pour la première fois depuis que cette histoire avait commencé.

=Chapitre Douzième : Baise costumée=

Après ce plan à trois particulièrement torride, le trio était épuisé. Julie avait aussi eu droit à une sévère enculade à sac. Alice s'était fait un plaisir de la dominer à son tour avec le gode. Mais la blonde était une habituée, son cul avait vu passer de nombreuses choses, et pas que des membres masculins.
Vers midi, la blonde dût partir, laissant frère et soeur seuls. Alice avait de moins en moins mal au fur et à mesure qu'elle participait à ses coïts sauvages, et pour la première fois, le plaisir l'avait possédée.
Son frère lui donna une fessée :
-T'as été une belle salope, ma jolie.
Sur ce, il se leva, et alla dans la cuisine, sans doute pour aller manger un bout. La jeune fille passa la main sur son petit trou encore plein de semence fraternelle. Il ne l'avait pas forcée à regoûter de sperme, ce qui lui allait parfaitement, car elle trouvait encore ça désagréable et dégradant.
Le jeune homme revint dans la chambre avec une assiette. Il était encore nu et sa queue était toujours dure.
-Tiens, je t'ai préparé des pâtes, soeurette.
Alice sourit, son frère n'avait pas mis de côté les petites attentions. Elle tendit la main vers le plat, mais il le mit hors de portée.
-Attends, ça risque d'être un peu sec comme ça, je vais te rajouter de la sauce.
Ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'il avait commencé à se branler dans la cuisine, et qu'il était au bord de la jouissance. Il pointa son sexe vers l'assiette, et après quelques passages de sa main, il éjacula sur les pâtes.
-Mais qu'est-ce que tu fais !
Il lui tendit l'assiette.
-Tiens, mange.
-Non, t'es fou !
Il lui mit une énorme bifle, et lui rappela :
-Tu préfères que tout le monde soient au courant de ce que tu fais de tes journées, y compris les parents ?
Contrainte, elle prit la fourchette et enroula les pâtes autour. Le foutre frais collait les tagliatelles entre elles. Alice les porta à sa bouche, et voulut recracher, tellement c'était salé. Mais son frère la surveillait, et elle devait tout finir. Elle avala toute la platrée, et lécha même le fond de l'assiette pour faire plaisir au jeune dominateur.
-C'est bien, maintenant, on va s'amuser un peu.
Il alla vers l'armoire de la chambre et en sortit quelque chose. Alice reconnut le costume de Mère Noël qu'elle avait enfilée quelques fois dans ses vidéos.
-Je crois que je t'ai rarement vu aussi bonne que dans ce costume. Allez, mets-le.
Il lui jeta le déguisement à la figure. Elle commença à enlever ses vêtements, ce qui permit au frère de se rincer l'oeil par la même occasion. Cela lui redonnait de la vigueur de voir ces énormes seins rebondir quand elle enlevait son T-shirt. Elle enfila enfin le costume :
Tout son corps était parfaitement moulé, de sa poitrine jusqu'à ses hanches, ainsi que ses cuisses, serrées par des rubans rouges.
-A quatre pattes.
Elle s'exécuta docilement, et cambra ses fesses rondes. Il prit une ceinture qui traînait par terre, tira les mains de sa soeurette en arrière, et les attacha avec la lanière de cuir. Elle était à présent totalement soumise à lui. Il souleva la jupe du costume et malaxa son petit cul de déesse.
-Allez, ma petit pute Noël, j'y vais.
Il l'enfila d'un coup, et commença à la tringler en lui tenant les mains. C'était une folle cavalcade, et la monture commença bien vite à produire des petits cris de plaisir. Il commençait doucement, et accélérait de plus en plus, allant encore plus profondément dans son intimité. Elle sentait son gland taper contre son utérus, et elle aimait ça. Elle était excitée d'avoir les mains liées, elle voulait que son frère la prenne sans qu'elle puisse se débattre. Les décibels montaient au fur et à mesure que son frangin devenait bestial. Les voisins devaient commencer à entendre les cris, et le jeune homme n'en avait plus rien à faire. Qu'elle en fasse profiter les voisins, certains allaient certainement se branler en l'entendant. Il voulait que tout l'immeuble l'entende couiner comme une truie, qu'ils sachent tous qu'elle était une salope.

=Chapitre Treizième : Vidéo d'excitation=

Après s'être une nouvelle fois vider les couilles dans le cul de sa soeur déguisée en mère noël, le jeune homme décida qu'il était temps de tourner une vidéo.
-Mais j'ai même pas fini la dernière que j'ai tournée, s'indigna Alice.
-Oublie ça, on arrête les podcasts, on va faire un truc inédit sur YouTube.
-Mais ...
-Va prendre t'habiller avec un décolleté et une mini-jupe. Et interdiction de mettre des sous-vêtements, que ce soit un string ou un soutif.
Résignée, elle se dirigea vers la salle de bain pour nettoyer son petit trou de la semence qui le remplissait encore.
-Eh, où tu vas ? On a pas le temps pour une douche, tu vas tourner la vidéo avec mon foutre dans ton cul.
-Mais t'es fou, ça me coule sur les jambes ...
-Ferme ta gueule, et fais ce que je te dis.
-Bon, bon ...
Obéissante, elle enfila les habits demandés par son frère. Ses tétons pointaient sous son débardeur qui laissait voir un décolleté vertigineux, et sa mini-jupe s'arrêtait juste sous les fesses.
-Voilà, ce qu'on va faire, on va faire une vidéo pour les abonnés mâles. Je veux que tu les fasses bander comme jamais, qu'ils aient tous envie de te la mettre.
-Mais ...
-Je vais te chercher quelque chose.
Il alla dans la cuisine et revint avec une banane, qu'il éplucha.
-Allez, fais nous voir comment tu suces, cochonne.
Alice hésita, puis commença à prendre le fruit en bouche tout en regardant la caméra. Elle passa sa langue sur toute la longueur de la banane, comme s'il s'agissait d'une vraie bite. Elle alla de plus en plus vite, enfonçant le fruit tout au fond de sa gorge. Après quelques instants, le frère coupa la scène.
-C'était parfait, t'avais un vrai regard de salope. Maintenant, tu vas jouer un peu avec ta poitrine. Je pense que plein de mecs rêvent de les avoir en main.
Elle s'assit donc sur le canapé et passa la main sous son débardeur pour masser ses seins. Elle joua avec ses tétons en se léchant les lèvres, et en poussant des gémissements de plaisir. Instinctivement, sa main droite se dirigea vers sa mini-jupe, et elle commença à se caresser sans toutefois laisser apparaître sa vulve à la caméra. Elle jetait des regards excitants à la caméra comme pour dire "Venez me la mettre".
-Parfait, on coupe. S'il y a des problèmes avec YouTube, je m'en occuperai. On a plus qu'à la mettre en ligne ...
Il se frotta les mains et sourit.
-... et on sera prêts pour la rencontre abonnés

=Chapitre Quatorzième : Le train de la honte=

-Quoi ?! Quelle rencontre abonnés ? s'écria la jeune fille.
-Dans deux semaines, on prend le train pour Paris, et on va rencontrer les abonnés. Enfin TU vas surtout les rencontrer. J'ai hâte de voir comment tu vas te débrouiller face à eux une fois qu'ils auront vu ta vidéo.
Ce serait la première fois qu'Alice ferait une rencontre abonnés. Elle se demandait quel genre de fans viendrait la voir. Son frère lut la question dans ses yeux :
-Te fais pas d'idées, y aura que des mecs là-bas. Et on va en tirer profit.
-Hein ?!
-On va voir s'ils sont prêts à débourser pour passer un moment avec toi.
Alice était effarée, c'était de la prostitution que son frère lui proposait ! Il voulait que des mecs paient pour pouvoir profiter d'elle ! De plus, elle était certaine qu'il allait garder l'argent pour lui.
-Non, cette fois c'est bon, j'irai pas.
Son frère fit un pas vers elle. Elle s'attendait à recevoir une claque, comme d'habitude, mais au lieu de ça, il la prit par les hanches et l'attira contre lui.
-Tu me refuserais pas cette petite faveur, petite soeur ... Tu sais que je tiens à toi, je veux ce qu'il y a de mieux pour toi.
Il commença à pétrir sa poitrine avec douceur. Comme hypnotisée, Alice s'abandonna au plaisir.
-Hmm ... bon d'accord, on ira, mais tu me forceras pas à faire des choses que je veux pas.
-Ok, c'est d'accord.
Deux semaines plus tard, ils montèrent tous les deux dans le TGV pour Paris. Son frère avait pu avoir deux places adjacentes dans le fond du train. Le wagon n'était pas très rempli pour le moment, les gens allaient certainement monter aux différents arrêts. Les seuls autres passagers étaient un jeune couple, une quarantenaire bien habillée, et un vieil homme de cinquante ou soixante ans.
Le jeune homme en profita pour caresser les cuisses de la brunette, qui se laissa faire, ce n'était pas grand-chose, et ça lui faisait plutôt du bien.
Au bout d'une demi-heure, Alice se leva :
-Je reviens, je vais aux toilettes.
Comme le leur n'était pas équipé, elle passa dans le wagon suivant, qui était lui complètement vide. Elle poussa la porte des toilettes, et au moment où elle allait refermer, elle fut violemment plaqué contre le mur et une main se posa sur sa bouche, l'empêchant d'appeler au secours.
Elle sentit une langue lui lécher les joues, l'haleine de l'agresseur était désagréable. Alice était en panique et remua pour se libérer, mais le pervers pesait plus lourd qu'elle. Celui-ci la retourna et la mit vite à genoux en sortant sa queue. Elle le reconnut, c'était le vieil homme de son wagon. Ce vieux pervers avait dû la reluquer depuis qu'elle était montée et avait attendu qu'elle soit seule.
Avant qu'elle ne puisse émettre un son, il lui planta sa queue au fond de la gorge, et lui ramona avec violence. Le bougre était bien monté pour son âge, et son mandrin était vraiment dur. Il avait une cadence infernale, chaque coup donnait la nausée à Alice.
-J'en ai baisé, des jeunettes, mais rarement aussi bonnes que toi. Je vais te faire jouir comme jamais, tu vas en redemander.
Après lui avoir ravagé la gorge, il se retira, la bifla, et avant qu'elle ait pu protester, arracha son string et lui enfonça dans la bouche. Puis il la retourna face au miroir de la salle, et la fourra en levrette. La pauvre jeune fille pouvait se voir en train de se faire violer par ce vieux vicelard qui aurait pu être son grand-père. Ce dernier, tout en la tringlant, prit sa ceinture et l'enroula autour du cou de sa victime. Puis il tira en arrière pour lui faire lever la tête. Elle était ainsi tenue en laisse, comme une véritable chienne prise d'assaut par le mâle tout-puissant. Il admirait avec délectation les mamelles de la jeunette balloter à chaque insertion.
Le vieil homme était incroyablement endurant. Il la baisa pendant environ trente minutes, puis il se retira et lâcha toute sa semence dans le dos de la belle. Alice tomba à terre, épuisée, détruite. Son agresseur détacha la ceinture, et lui administra un coup de fouet sur ses fesses nues. Elle poussa un petit cri et se recroquevilla.
La sonnerie du train retentit.
-Ah, c'est mon arrêt. Ca a été un plaisir, ma jolie. Au plaisir de te revoir.
Il la laissa, dégoulinante de sperme. La jeune fille se força à se relever et se lava avec l'eau du lavabo. Son frère devait se demander où elle était passée, aussi se dépêcha t-elle de retourner à son wagon.
Elle retrouva son frangin endormi sur son siège. Il n'avait rien remarqué. Comme elle n'allait sûrement pas revoir le vieil homme, elle décida de garder secret sa rencontre avec lui. Elle s'assit à côté de son frère, et trouva elle aussi le sommeil contre son épaule.

=Chapitre Quinzième : Abonnés chéris=

Le train s'arrêta enfin Gare de Lyon. Alice se leva et s'étira longuement. Son frère, qui venait de se réveiller, lui donna une petite tape sur les fesses.
-Eh !
-Allez, prends ton sac, on a pas de temps à perdre.
Ils descendirent du train, puis prirent un taxi. Alice contempla cette ville qu'elle n'avait pas eu beaucoup l'occasion de visiter. Son frère s'adressa au chauffeur.
-Merci, vous pouvez nous déposer ici.
Il paya la course et prit sa soeur par les épaules. Il l'amena dans une ruelle étroite et sale. Elle ne se sentait pas à l'aise, mais le jeune homme avait l'air de savoir où il allait.
Ils arrivèrent devant un entrepôt qui avait l'air abandonné. Alice lui jeta un regard inquiet.
-Je l'ai loué pour la journée, c'est ici qu'on va rencontrer les abonnés.
Ils entrèrent. Le bâtiment était vide, à l'exception de quelques chaises contre les murs et des caisses empilées. L'endroit semblait n,avoir été déserté que récemment.
-Attends-moi là, je vais voir si des fans sont arrivés.
Il partit en courant vers la porte, et referma derrière lui. La brunette fit quelques pas et regarda tout autour d'elle. L'endroit était peu éclairé, seule une petite lucarne laissait passer la lumière du jour. Les murs semblaient capitonnés pour garantir l'isolation sonore. Elle entendit son frère discuter avec des gens à l'extérieur. Elle se sentait nerveuse, c'était la première fois qu'elle rencontrerait des abonnés. Elle ne savait pas trop ce qu'ils allaient faire, vu que l'endroit était vide. Elle pourrait sans doute taper la discussion et leur faire des autographes. La porte s'ouvrit, et elle vit son frangin rentrer avec trois jeunes hommes.
-Alice, je te présente Pierre, Jean et Hugo, ce sont les premiers arrivants.
-Ah ... euh, bonjour !
Les trois mâles la regardèrent fixement. Elle était habillée avec un T-shirt moulant-décolleté, une petite veste, un jean serré et des talons hauts.
-Bon, et bah je vous laisse.
-Euh ... frérot ...
Elle écarquilla les yeux. Les trois abonnés venaient de donner 100€ chacun à son frère, qui après les avoir remerciés, se dirigea vers la sortie.
-Ils ont payé un tarif de groupe, je vous laisse, vous avez 1h les gars.
-Tu m'avais promis de pas m'obliger à faire ce genre de choses !
-Oh, mais moi je n'oblige rien, c'est eux qui vont faire ce qu'ils veulent. Allez, à plus tard, soeurette. Ah, et inutile de hurler, personne ne t'entendra, c'est bien isolé ici.
Sur ce, il referma la porte, laissant sa jolie soeur aux mains des trois prédateurs. Ces derniers s'approchèrent d'elle, et la firent mettre à genoux. La jeune fille était éplorée.
Pierre prit la parole :
-Alice, on est vraiment fans de toi, on ne te fera pas de mal.
La jeune fille les regarda avec reconnaissance.
-C'est vrai ?
Ils ricanèrent.
-Non.
En une seconde, ils avaient sorti leurs queues de belle taille.
Pierre s'avança et prit le visage de la jeune vidéaste pour insérer son engin dans sa bouche. Jean et Hugo lui prirent les mains qu'ils mirent autour de leurs sexes.
-Allez, branle-nous maintenant.
Effondrée, la jolie brune obéit, et commença à leur astiquer le manche tout en recevant la queue de Pierre au fond de sa gorge. Ce dernier n'y allait pas de main morte et lui baisait littéralement la bouche en râlant de plaisir.
-Putain, qu'est-ce que c'est bon, on a toujours rêvé de te baiser. T'es vraiment trop bonne. Quand on a vu la vidéo où tu faisais la salope, on a compris qu'on avait notre chance.
Jean la tira par les cheveux pour lui faire comprendre que c'était à son tour de profiter de sa bouche. Elle alterna ainsi entre les trois queues, ne savant plus où donner de la tête. Les trois jeunes hommes lui ramonèrent la bouche de fond en comble. Puis chacun d'entre eux mis sa queue entre les énormes de seins de la brunette pour la meilleure branlette espagnole de leur vie. Pendant que l'un passait, les deux lui tripotaient tout le corps. Enfin, quand il fut temps de passer aux choses sérieuses, chacun prit un orifice. Jean prit la bouche, Pierre la chatte, et Hugo le cul. Ils la prirent directement tous les trois en même temps. Chacun des jeunes hommes avait une fougue impressionnante et lui ravageait l'intérieur. Chaque centimètre carré de ses parois était sauvagement raclé sans répit.
Parfois, ils échangèrent leur place, si bien que chaque trou reçut chaque membre du trio. Au bout de la première demi-heure, ils sortirent de leurs orifices respectifs et se mirent debout autour d'elle. Après une courte branlette, ils se vidèrent sur le visage de la belle en l'insultant copieusement. Puis après quelques minutes où ils burent quelques boissons qu'ils avaient apportées (sans en proposer à Alice bien sûr), ils repartirent à la charge et la tringlèrent jusqu'à la fin du temps qui leur était imparti.
Elle fut effrayée quand chaque garçon éjacula au fond de son utérus.
-T'inquiète, ton frère a dit qu'on pouvait.
Après leur départ, ce dernier arriva après avoir saluer les trois abonnés.
-Ils m'ont ... ils m'ont ... je vais tomber enceinte ...
-T'inquiète pas, j'ai décidé qu'à partir d'aujourd'hui, tu prenais la pilule. Moi aussi j'ai envie de me vider dans ta petite chatte.
-Espèce d'enfoiré ...
Il sortit une serviette de son sac et lui balança à la figure.
-Lave-toi bien, les prochains arrivent, et ils veulent que tu sois propre à l'extérieur ET à l'intérieur.
-... Les prochains ?!
Et pendant toute la journée, les abonnés mâles défilèrent dans l'entrepôt pour se vider les couilles dans la jeune youtubeuse. Parfois seuls, parfois en groupe, elle vit un nombre incalculable de bites lui passer dessus et remplir ses trous. Le plus grand groupe a été de treize, où elle s'était fait prendre en tournante jusqu'à l'épuisement total. Jusqu'à la tombée du soir, elle servit de jouet à des centaines d'abonnés qui rêvaient de la baiser depuis le jour où ils l'avaient vue. Quand le soleil se coucha, elle était dans un état second, détruite physiquement et mentalement par les assauts incessants de ses abonnés chéris.

=Chapitre Seizième : Cul sec=

Après cette rencontre abonnés qui avait tournée en orgie, Alice se sentait plus fatiguée que jamais. Même si les mâles dominants avaient fait le plus d'efforts, se faire saillir non-stop pendant plusieurs heures finissait par donner des courbatures. Tous ses orifices étaient dilatés, douloureux, et poisseux de sperme.
Son frère l'aida à se lever puis il l'amena dans un hôtel plutôt sympa, où elle put prendre une douche.
La jeune fille, se sentant enfin propre, s'allongea sur le lit double, et savoura le moelleux du matelas.
Son frère s'allongea près d'elle, et sortit une liasse de sa poche.
-C'est impressionnant, on a récolté 2800€ pour cette journée.
Même si Alice continuait à lui en vouloir, elle devait reconnaître que c'était une sacrée somme pour une journée. Il sépara la liasse et lui tendit la moitié, un geste qui surprit sa soeurette.
-Tu me donnes la moitié ?
-Je suis pas un monstre quand même.
Dans sa tête, il savait que tout l'argent revenait à la jeune fille, mais il réussit à l'appâter avec la moitié. Mais pour Alice, qui pensait qu'il allait tout garder pour lui, ce fut touchant.
Elle s'allongea sur lui, et l'embrassa fougueusement, mêlant sa langue à la sienne. Il lui mit les mains sur les fesses et commença à les caresser. Puis il la retourna violemment. La vue de sa soeur en sous-vêtements l'excitait.
-Tu es sûre de vouloir jouer à ça ?
Elle sourit.
-Viens me prendre.
Il ne se fit pas prier, et commença à la tringler sauvagement. Alice commença à crier de plaisir, au risque d'alerter tout l'hôtel.
-Vas-y, crie, fais savoir à tous les résidents que tu te fais prendre comme une chienne.
Ce n'était rien à côté de ce qu'elle avait subi aujourd'hui, alors elle appréciait comme il se doit ce moment. Il la prit dans toutes les positions possibles, dans tous ses trous, sur le lit, dans la salle de bain, dans les toilettes. Au moment de se lâcher, il se retira et s'empara d'un verre posé sur la table. Il se vida dedans, sans qu'Alice le voit, le remplissant au dixième.
Puis il repartir à l'assaut, il la baisa une bonne partie de la nuit, et les gens de l'hôtel purent apprécier ce spectacle auditif. A chaque fois qu'il jouissait, il se vidait discrètement dans le verre, jusqu'à ce qu'il soit rempli à ras bord.
Enfin, vers 4h, la jeune fille, épuisée, voulut s'endormir.
-Une minute, tu vas bien prendre un petit verre avant de dormir ?
Il lui tendit le verre. Alice en vit le contenu et blêmit.
-J'avale pas ça, c'est mort.
Il la prit par la gorge pour la forcer à ouvrir la bouche, et en profita pour verser le contenu sur son visage et dans sa bouche. Puis il s'assura qu'elle avala bien tout, puis lui frotta les cheveux.
-Gentille chienne.
Il sortit son portable et prit une photo.
-A qui je pourrais envoyer ça ? Maman, papa, tes amis ?
-S'il-te plait, non ...
-Il va falloir se montrer obéissante alors.
La jeune fille hocha la tête.
-Quand on rentrera, tu vas être servie, tu peux le croire. Je t'ai préparé quelques activités ...

=Chapitre Dix-Septième : Plaisir nocturne=

De retour chez elle, Alice décida d'arrêter un peu les vidéos et voulut sortir pour rencontrer du monde. Elle commençait à apprécier les relations avec son frère, mais celui-ci était trop violent à son goût. Bien sûr, comme beaucoup de filles, elle ne disait pas non à du sexe un tantinet bestial, mais son frère était vraiment sadique.
Le soir, elle alla se préparer dans la salle de bain, maquillage, coiffage, habillage. Elle était prête à partir en boîte.
-Où tu vas comme ça ?
-Je sors, seule.
-Tu crois que je vais t'y autoriser ?
-Si tu me laisses tranquille, je te ferai des tas de bonnes choses ce soir, lui murmura t-elle dans l'oreille.
Il sourit.
-Allez, vas-y, mais rentre pas trop tard.
-Promis.
Elle descendit les marches en fredonnant, et prit un taxi jusqu'à une petite boîte sympa. Pendant tout le trajet, le conducteur reluqua son décolleté dans le rétroviseur, ce qui l'amusa. Dans sa tête, elle aimait être désirée.
Elle passa sans problème devant le videur. Dans la boîte, des fumigènes fusaient, laissant apparaître les lasers des spots. La musique battait son plein, tout le monde se déchaînait sur la piste. Alice se dirigea vers le bar, et commanda un verre. Le barman la matait discrètement lui aussi, décidément.
Elle passa la soirée à boire et à danser. Puis, épuisée, elle alla à une table vide pour reprendre son souffle. Un joli garçon s'assit à côté d'elle et passa le bras autour de ses épaules.
-Eh, ma jolie, comment ça va ?
-Ca va, et toi ?
-Tranquille, je m'appelle Maxime, enchanté.
-Alice, moi de même.
Elle rit nerveusement, elle était déjà bien imbibée.
-Tu sais que je te trouve très jolie ?
-Ah oui ? Mais toi aussi tu es très beau.
Il approcha la bouche de son oreille :
-Ca te dirait qu'on aille dans un coin tranquille ?
-Allez !
Il la prit par la main et l'amena vers les toilettes de la discothèque. Là, il l'embrassa fougueusement, tout en la poussant vers une cabine. La jeune fille se laissa faire. Ils enlevèrent vite leurs vêtements.
-Mets une capote, par contre.
-Mais oui, t'inquiète. Maintenant, retourne-toi, que je prenne tes petites fesses.
Elle se retourna pendant qu'il fit mine de mettre le préservatif, mais le jeta par terre discrètement.
-Allez, penche-toi, ma jolie.
Elle obéit, amusée par la situation. Le jeune homme la prit par les hanches et inséra sa queue dans sa petite chatte. Alice fut agréablement surprise par la taille de l'engin, elle devait faire au moins 22cm, et était large et dure comme de la pierre.
-Eh, t'as pas mis de capote.
-Chhhhh, laisse-toi faire, tu vas adorer.
Il prit ses mains et les joignit dans son dos. Tout en la pilonnant, il utilisa sa main libre pour caresser son énorme paire de seins.
-J'ai jamais vu des seins pareils, ils sont naturels ?
-Hmmm, ouiii !
-Bah, putain, la nature t'as gâtée, petite coquine. Ca serait dommage de pas en profiter.
Il relâcha ses mains pour prendre sa poitrine à pleine mains. Ils étaient à la fois doux et fermes, malgré leur taille hors norme. C'était pour lui le meilleur coup qu'il avait jamais eu, et pourtant, le beau gosse en baisait des minettes, mais rarement aussi bonnes que celle-ci.
Il se retira de sa chatte, et la fit tourner pour qu'il puisse s'asseoir sur les toilettes.
-Allez, viens t'asseoir dessus.
Alice fut impressionnée de voir la queue énorme ainsi dressée devant elle. Elle s'approcha de lui et s'embrocha elle-même sur son mandrin. Elle commença à le chevaucher comme une folle, poussant des cris de plaisir. Maxime voyait les magnifiques seins de sa conquête rebondirent à chaque fois qu'elle se soulevait. Il la tira vers lui pour pouvoir les prendre dans sa bouche. Tout en continuant à la prendre, il lécha ses tétons tout durs, ce qui donna des petits chocs électriques à la demoiselle.
Après 40 minutes de chevauchée sauvage, il lui annonça qu'il allait céder.
-Vide-toi en moi, je t'en suppliiiiie.
Il ne se fit pas prier et se lâcha dans la chatte de son coup du soir, qui avait perdu la raison depuis longtemps. Il songea qu'il fallait vraiment qu'il la revoit, il voulait encore la baiser, pouvoir en profiter autant qu'il voulait.
-Après le plaisir que je t'ai donné, tu vas bien accepter de me donner ton numéro ?
Elle sourit et se serra contre lui.
-Bien sûr, on va se revoir ...

=Chapitre Dix-Huitième : Au nom de la loi=

Après cette partie de jambe en l'air dans les toilettes de la boîte avec le beau Maxime, qui avait été plus doux que son frère, Alice rentra chez elle sans se soucier de l'heure. Quand elle passa la porte, elle vit son frère, les poings serrés, le regard furieux.
-Tu sais quelle heure il est ?!
-Euh, pas vraiment non.
-Il est 3h du matin.
-Et alors ?
-Je t'avais dit de pas rentrer tard.
-C'était assez vague comme consigne.
-Tu vas voir, sale truie, je vais te faire hurler, c'est moi qui te le dis.
Il s'approcha et lui agrippa violemment le bras.
-Lâche-moi !
-Tu oublies qui commande ici, salope, je te prends où et quand je veux.
Affolée, et sous l'effet de l'adrénaline que lui procurait l'alcool, Alice trouva le courage de se rebeller. Elle attrapa une lampe posée sur une commode non loin, et l'envoya valser dans le visage de son frère, qui la lâcha instantanément et s'écroula par terre. Une giclée de sang arrosa le mur, alors que la jeune fille venait de réaliser ce qu'elle avait fait. Son frère était inerte, la face pleine d'hémoglobine.
Elle se rua sur le téléphone en pleurant et appela la police.
-Ici le commissariat, que puis-je pour vous ?
La brunette répondit, sa voix entrecoupée de sanglots.
-Vite, venez ... mon frère, il a voulu me frapper ... j'ai pris ... j'ai pris une lampe et je l'ai ... vite, s'il vous plait, venez ...
-Calmez-vous, mademoiselle, donnez-moi votre adresse, nous allons intervenir.
Elle lui donna.
-Très bien, nous arrivons. Pour le moment, restez auprès de votre frère, mettez-le en position latérale de sécurité, nous verrons sur place s'il a besoin de secours.
-D'accord ...
Elle s'agenouilla à côté du corps inerte du jeune homme, et le mis sur le côté. Dix minutes plus tard, on toquait à sa porte. Elle alla ouvrir. Deux agents lui faisaient face.
-Bonsoir, mademoiselle, vous permettez ?
-Oui, entrez ...
Les deux policiers pénétrèrent dans l'appartement, et constatèrent la scène. Le jeune homme avait le visage ensanglanté. La lampe était encore par terre, tarie par une tâche de liquide rouge, tout comme le mur du salon.
L'un des deux officiers examina le frère d'Alice, prit son pouls, puis sortit son talkie-walkie.
-Allô, Robert ? Appelle le SAMU, je vais te donner l'adresse.
Son collègue prit la jeune femme à part.
-Mademoiselle, je vais devoir vous demander de bien vouloir nous suivre au poste. On va éclaircir cette affaire.
Le visage plein de larmes et de coulées de mascara, la jeune fille opina de la tête. Les policiers attendirent les secours, qui prirent en charge le blessé, puis conduisirent la jeune youtubeuse au commissariat.
A cette heure avancée de la nuit, elle était évidemment seule dans le bâtiments avec les officiers.
Les deux interventionnistes l'emmenèrent dans un petit bureau tout au fond.
-Asseyez-vous.
Elle obéit.
-Votre frère va être placé sous observation. Vous pouvez me dire pourquoi il a essayé de vous frapper ?
La jeune fille était coincée, elle devait tout lui avouer.
-On a une relation tous les deux ... il a pas apprécié que je rentre tard, et il a voulu me frapper ... et sans doute après ... me violer ...
-Je le comprends.
-Excusez-moi ?
-Ecoutez. Cette histoire d'inceste restera entre nous si vous nous faites une petite ... faveur.
-J'ai peur de ne pas comprendre.
Le policier se leva d'un coup, et intima à son comparse.
-Matt, ferme la porte à clé.
-Ok, Tim.
Le dénommé Tim s'approcha de la jeune femme et lui ouvra de force son haut.
-Mais qu'est-ce que vous faites !
-Je vais me servir de mon grade.
-Arrêtez, je vais ...
Elle allait dire "je vais porter plainte" avant de réaliser la situation.
-Et oui, ma jolie, tu es coincée.
Matt, qui s'était approché par derrière, posa les mains sur les seins de la jeune fille.
-Putain, Tim, toi aussi tu les matais dans l'appart tout à l'heure ? Ils sont énormes.
-Tellement, j'avais envie de la tringler dès que je l'ai vue.
Matt plaqua Alice contre le bureau, et arracha sa jupe, puis son string. Il claqua ses petites fesses bien fermes. Puis il sortit sa queue et enfila la jeune fille d'un coup. La brunette pleura, plaquée de force contre la surface en bois du meuble, qui tremblait à chaque va et vient de Matt.
Tim sortit d'un tiroir une boîte de poudre blanche, une paille en fer, et des bières.
-On va passer une bonne soirée, mon gars. Une jolie pute à gros seins, de la coke, et de l'alcool !
Tout en claquant ses bourses contre les cuisses de sa victime, Matt fit signe à son camarade de lui passer une bière. Les deux hommes trinquèrent, et commencèrent à boire. Matt faisait exprès de laisser de la bière couler sur les fesses d'Alice. Il ramassa les gouttes avec ses doigts, et lubrifia l'anus de la jeune fille avec.
Tim, qui était un grand black, sortit son énorme gourdin et le présenta devant le visage de la pauvre fille.
-Allez, sers-toi de ta bouche, ma petite.
Prise comme une chienne contre le bureau, elle n'avait pas le choix, et reçut l'énorme queue d'ébène dans son oesophage. Tim allait loin, très loin, et Alice avait la nausée à chaque fois qu'il s'introduisait tout au fond de sa bouche.
-T'as une bouche de suceuse, vraiment.
Après vingt minutes de ce traitement, Tim lui lâcha tout son foutre dans la bouche, suivi de près par Matt, qui inonda le vagin de la jeune fille.
-De toute façon, tu te fais sauter par ton frère, j'imagine que tu prends la pilule.
Soumise, elle acquiesça.
Pendant le reste de la nuit, les deux policiers la prirent toute la nuit, en double pénétration, la sodomisant, avec leurs bites ou avec les bouteilles de bière. Ils la recouvrirent de leur foutre tout en buvant et en prenant des rails de cocaïne.

=Chapitre Dix-Neuvième : Cher père=

Après cette nuit passée avec les deux policiers, Alice fut dégoûtée de ce qu'était devenue la police. Malheureusement, elle n'avait pas eu le choix, ils connaissaient sa relation avec son frère. Ce fut d'ailleurs à lui qu'elle pensa quand Tim et Matt la balancèrent dans la rue à l'arrière du commissariat de bon matin. Elle retourna à son appartement pour se rhabiller et prendre quelque chose à manger. Chaque bouchée avait le goût de poussière, elle s'en voulait énormément ... Même si son frère avait été violent, elle aurait pu calmer le jeu en acceptant de le laisser faire ce qu'il voulait. Au lieu de ça, elle l'avait envoyé aux urgences, et elle s'était fait violée par deux agents corrompus qui étaient probablement pères de famille.
La jeune brune décida de se rendre à la clinique pour voir comment son frangin se portait. Elle avait peur de sa réaction, vraiment peur.
En arrivant à l'accueil, on lui indiqua la chambre 143. Elle arriva devant la porte au moment où une infirmière en sortait.
-Vous pouvez entrer, mais ne faites pas de bruit. Il est hors de danger, il a simplement besoin de repos.
La jeune fille acquiesça. Elle pénétra dans la pièce blanche. Son frère était paisiblement endormi. Sa plaie avait été nettoyée et bandée.
-Je suis désolée, frérot ... Cette histoire est allée trop loin. J'espère qu'on pourra repartir sur des bonnes bases quand tu reviendras. Elle serra sa main quelques minutes, puis le laissa tranquille.
La jeune vidéaste avait prit une décision, elle allait retourner chez ses parents et leur expliquer la situation. Enfin, ce qu'elle voulait, c'était surtout inventer une histoire pour ne pas révéler sa relation inceste avec son frère.
Après un court voyage en train, qui cette fois-ci se passa sans accroc, Alice arriva dans la ville de ses parents. Elle passa le seuil de la porte avec un mal de ventre terrible. Même si elle les avait prévenus à l'avance, elle avait peur de se confronter à eux.
-Coucou, c'est moi !
Personne ne répondit. Elle entendait la télévision fonctionner dans le salon. Elle s'y rendit, et trouva son père, seul, les bras croisés. Elle remarqua une lettre sur la table basse.
-Papa ... je vais tout t'expliquer, en fait ...
-Pas la peine. J'ai déjà reçu une lettre de la police.
-Qu ... quoi ?!
Son père lui tendit la missive. Dedans, toute l'histoire était détaillée. Comment elle avait frappé son frère avec la lampe, son histoire d'inceste avec lui. La lettre venait de Tim.
-Tu imagines ce que j'ai ressenti quand j'ai lu ça ? Que ma fille s'envoie en l'air avec mon fils, puis le tabasse avec une lampe !
Alice s'effondra en larmes.
-Je vais devoir te punir, Alice.
Il s'approcha de sa fille. Son père était un quarantenaire bien entretenu et très musclé. Il la prit par le bras, et la tira vers l'étage.
-Papa ?! Qu'est-ce que tu fais ?!
Il ne pipa mot, et l'entraîna dans son ancienne chambre. La pièce était toute peinte en rose, ça et là traînaient des poupées et des peluches.
-Vu que tu n'as aucun scrupule à te taper ton frère, tu ne verras pas d'inconvénient à ce qu'un autre membre de la famille en profite aussi, n'est-ce pas ?
Elle n'en crut pas ses oreilles.
-Papa ... qu'est-ce que tu dis.
-Ecoute-moi, petite traînée, je vais te prendre ici, dans la pièce où tu as passé ton enfance, et tu vas être bien obéissante.
-NON ! Je n'étais pas d'accord pour toute cette histoire au départ !
Il lui donna une grosse claque, qui la sonna et l'envoya par terre. Il arracha ses vêtements un à un, puis se déshabilla à son tour. Alice était sur le dos, sans défense face à son géniteur. Quand elle retrouva un peu ses esprits, elle vit l'engin de son père, et posa une main sur sa bouche pour étouffer un cri de surprise. Le bougre était monté comme un cheval, sa queue devait faire 28cm, et avait une largeur presque illicite.
-Ta mère est absente, ne compte pas sur moi pour faire dans la douceur.
Il posa son gland contre la petite chatte de sa progéniture, et s'inséra tant bien que mal en elle. La vulve de sa fille était trop étroite, et il dût donner des coups de reins pour écarteler les chairs de la brunette. Celle-ci pleura de douleur. Cet engin était hors normes, elle ne pourrait pas supporter sa présence dans son corps.
Le père tapa enfin contre l'utérus de sa fille, et une grosse partie de sa bite était encore à l'extérieur. Alice sut que son vagin de pouvait pas en contenir plus, et qu'il était rempli à 100% par ce monstre de chair. Son paternel commença à la besogner avec force à même le sol. Elle hurlait comme une truie à chaque coup, et ne ressentait aucun plaisir. Chaque insertion était une torture sans nom.
-Si tu hurles comme ça alors que je t'ai juste pris la chatte, qu'est-ce que ce sera dans l'autre trou.
La jeune fille n'osa pas imaginer. Pour l'instant, elle essayait de réduire la douleur en se détendant. Son papa était visiblement une bête de sexe, et il maintenant une cadence effroyable.
Après quelques minutes, il se retira avec difficulté de l'intimité de sa fille. La brunette éprouva un grand soulagement quand il sortit entièrement, mais elle sut que ça n'allait pas durer.
En effet, il la retourna bien vite pour la mettre à quatre pattes par terre.
-Baisse la tête et lève tes fesses.
Elle obtempéra. L'insertion fut encore plus difficile par l'arrière. Même si elle avait déjà prit un gode d'une taille considérable dans l'anus, la queue de son père était tout aussi longue et surtout BIEN plus large. Quand enfin il arriva aux tréfonds de ses intestins, elle sut qu'elle avait un monstre de chair bien ancré dans son corps. Elle sanglotait sans pouvoir s'arrêter, jamais elle n'avait eu aussi mal.
Son père commença à limer ses petites fesses sans précaution.
-Allez, arrête de chialer. Quand j'avais 17 ans, et ta mère 15, je la sodomisais déjà dans les toilettes du lycée.
Alice pensa à sa maman, et pensa qu'elle était courageuse de continuer à recevoir encore aujourd'hui ce monstre dans ses orifices.
-Tu sais que tu as des seins encore plus gros que ceux de ta mère ? T'as vraiment un corps d'actrice de cul, et pourtant tout est naturel. Vu que c'est moi qui ait conçu un corps aussi parfait, il est normal que j'en profite, non ?
Il la fessa allègrement en ricanant. Voilà à quoi elle en était réduite, violée comme la dernière des putes par son propre père. Elle avait du mal à penser avec les coups de boutoirs qu'elle prenait dans l'anus, et bientôt, elle perdit conscience, sans que son paternel ne cesse de la tringler.

=Chapitre Vingtième : Coït à haut risque=

Quand Alice se réveilla, elle avait l'esprit encore enfumé. Elle ne se souvenait plus très bien des événements de la veille. Elle reprit peu à peu conscience, et constata qu'elle était dans le lit de son ancienne chambre. Elle tenta de se lever, et une douleur à l'anus lui ramena les souvenirs manquants. Son père l'avait sauvagement tringlée à même le sol, comme une vulgaire traînée. Elle se mit à pleurer de honte et de douleur. Elle se faisait sauter par tout le monde, même son propre géniteur. La jeune fille porta la main à ses fesses, et constata que ses intestins était rempli de sperme froid. La semence de son père ... Curieuse, la jeune fille en prit entre ses doigts et y mit la langue. Etrangement, il était meilleur que celui de son frère. Puis elle secoua la tête en pensant "Mais qu'est-ce que tu fais ?".
La brunette essaya tant bien que mal de se mettre debout pour descendre dans le salon. Elle y trouva ses deux parents en train de prendre le petit déjeuner.
-Bonjour, ma chérie, sourit sa mère, on s'est pas vues hier !
Son père lui sourit également, restant impassible sur ce qui s'était passé hier. Alice courut embrasser sa maman. "La pauvre, si elle savait ..."
-Et tu ne viens pas embrasser ton papa ? dit l'intéressé.
Avec réticence, elle alla le voir pour lui dire bonjour. Le pervers en profita pour lui mettre discrètement la main au panier. La mère annonça :
-Ton père m'a raconté que ton frère avait eu un accident. Je vais aller le voir dans les prochains jours, mais avant, on va tous aller rendre visite à tes cousins, ça fait longtemps que tu ne les as pas vus !
La jeune fille était ravie, d'autant que son père ne tenterait rien en présence de la famille.
-On part à 15h, tiens-toi prête.
La petite famille arriva en fin d'après-midi chez l'oncle et la tante d'Alice, André et Estelle. Il y avait également ses trois cousins, deux garçons et une fille : Sam, Nicolas et Maria. Sa jeune cousin l'étreignit, tandis que les deux garçons étaient stupéfaits. Cela faisait sept ans qu'ils n'avaient pas vu leur cousine, c'était devenu une véritable bombe. Ils lorgnèrent surtout sur son énorme paire de seins. Ils restaient là, un filet de bave leur sortant de la bouche, avant de se reprendre. Ils saluèrent également la jeune fille, puis se retirèrent dans un coin pour comploter dieu sait quoi.
-Alors, j'ai appris que mon cher petit neveu est à l'hôpital.
-Oui, un accident assez grave, mais il devrait s'en tirer.
Pendant que les adultes discutaient, Alice alla visiter la grande maison pour voir si elle avait changer. Elle monta à l'étage, et retrouva la chambre où elle logeait quand elle venait ici. Elle allait continuer sa visite, comme deux grosses mains l'attrapèrent, une sur sa bouche, l'autre sur un de ses seins.
-Alors, ma petite fille chérie, tu ne pensais pas que ton papa allait lâcher l'affaire comme ça.
Il commença à enlever les vêtements de la brunette, sans se soucier du fait qu'on pouvait les surprendre.
-Si tu crois que c'est parce qu'on est ici que ça va m'empêcher de te culbuter, tu te mets le doigt dans l'oeil.
Le quarantenaire sortit quelque chose de poche, un objet qui se déroulait. Alice vit que c'était une laisse. Son papa sortit également une muselière. Quand il eut finit de déshabiller sa progéniture, il lui passa la lanière autour du cou, et lui musela la bouche. C'était une horrible sensation, la brunette ne pouvait plus ouvrir la bouche, seuls des gémissements sortaient de sa gorge. Son père tira sur la laisse pour la mettre par terre.
-Allez, ma fifille, mets-toi à quatre pattes et tends-moi ton joli cul.
Elle obtempéra, résignée. Son papa mit son énorme queue entre les fesses de la jeune fille, et commença à se branler entre elle. Alice sentait le monstre de chair coulisser sur sa raie, et savait que dans peu de temps, elle allait prendre cher. Le dominateur tira sur la laisse pour l'obliger à se cambrer. Il la prit par le cou et l'obligea à se tourner vers un miroir, posé par terre contre un mur. Elle s'y voyait parfaitement, muselée et tenue en laisse comme une esclave, et elle voyait son père derrière elle, baraqué et géant par rapport à elle. Ce dernier tira à nouveau pour qu'elle lève bien la tête. Il pouvait ainsi voir dans le miroir la poitrine surdimensionnée de sa propre enfant. Ils voulaient les voir ballotter dans tous les sens à chaque coup de rein.
Impatient, il posa donc son gland contre le petit trou de sa victime, et l'embrocha d'un coup. Aussitôt, il imprima une cadence infernale, ramonant intégralement les boyaux de la jeune fille à toute vitesse. La douleur était aussi intense que la veille. Alice avait l'impression qu'on lui ouvrait le ventre en deux. Si le vagin avait une profondeur limitée, il n'en était pas de même pour l'anus. Le mandrin de son paternel pouvait donc rentrer tout entier dans les intestins de la brunette éplorée. Alors qu'elle couinait comme une truie sous sa muselière, elle entendit des voix et des pas. On montait à l'étage ! Elle reconnut la voix de sa mère et de sa tante. Son père lui chuchota à l'oreille tout en lui limant le cul.
-On va voir si on arrive à passer inaperçus, tu trouves pas ça excitant, petite salope ?
Non, elle n'était pas excitée, elle avait peur, peur qu'on la retrouve dans cette position. Elle n'éprouvait aucun plaisir. Son papa la ramonait uniquement pour satisfaire sa soif de sexe, pas pour lui procurer du plaisir. Chaque aller-retour était une torture sans nom. Elle se demandait toujours comment son corps pouvait supporter la trentaine de centimètres de longueur et les septs centimètres de largeur de la bite de son père. Son cul ne devait plus ressembler à rien, sinon à un trou béant complètement dilaté.
A maintes reprises, la brute tirait sur les renes pour relever la tête de sa partenaire. Il se délectait de voir son visage rempli de larmes et ses énormes seins qui balançaient de haut en bas. Après quarante minutes de cavalcade, personne ne les avait dérangés. Le papa ralentit et sortit enfin de l'anus de sa fille. Celle-ci s'écroula, soulagée d'un poids inimaginable. Mais il n'en avait pas fini. Il donna un coup sec sur la lanière pour retourner sa fille vers lui. Il pointa son engin de guerre vers le visage de son esclave, puis déversa un flot astronomique de semence sur son joli visage. La jeune fille fut aveuglée par le jet de sperme qui collait à ses yeux. Son père ricana, puis accrocha la laisse à une armoire en hauteur, hors de portée de la jeune fille.
-Je te laisse, je vais retrouver les autres, tu ferais bien de trouver un moyen de te libérer avant que quelqu'un ne vienne ici.
La jeune fille se débattit, prise de panique, toujours muselée. Il sortit en lui donnant au passage une grosse bifle. Alice était attachée, nue, recouverte de foutre, muette et aveugle, et elle devait absolument se sortir de là !